Presse écrite, presse en ligne, radio et maintenant le photojournalisme avec une passion de la
communication digitale, le journaliste congolais, David Kasi, basé à Goma, utilise tous ses talents
au service des acteurs de la culture et des arts en République Démocratique du Congo et en
Afrique en général.

David Kasi a suivi un itinéraire balisé et a été sensible aux conseils des journalistes expérimentés
de sa région. Son attachement passionnel à la culture et aux arts, ses relations avec ses confrères
et artistes ont déterminé son parcours de 4 ans déjà professionnel, exemplaire, acclamé par le
public avec sa plume distinctive. Gradué en journalisme et licencié en communication des
organisations à l’Université de Goma, David Kasi, 23 ans, continue à chasser son rêve de devenir
l’un des journalistes culturels de renom de son pays.


C’est au milieu de sa première année de graduat que David Kasi atterrit dans la presse
concrètement. Et de quelle manière…en commençant, sous les directives de ses ainés à
l’université de Goma et dans le métier, à écrire les billets de blog sur le football et les faits de la
société sur www.globaletudiant.com, site web que ses ainés de l’Université ont créé pour
permettre aux étudiants de pratiquer les leçons apprises. Il pose pied dans le domaine culturel par
instinct journalistique et grâce à un conseil de l’un de ses modèles qui l’a trouvé meilleur en
journalisme culturel et que sportif.

En 2018, lors de la huitième édition du Festival Amani, rendez-vous annuel de la musique et de la
danse pour la paix à Goma, alors qu’il est dans la foule en tant que festivalier et lors de la
prestation de Youssoupha, il griffonne en plein concert les faits marquants de la prestation de son
musicien préféré. Cet article qui découle de son observation sera donc le premier pas de David
dans le journalisme culturel. Après, il continua à se perfectionner en couvrant plusieurs activités
culturelles qui se passent à Goma, en lisant les articles sur les grands médias internationaux et en
faisant connaissance des artistes.

Pour élargir ses horizons sur le plan national, il décide d’écrire au propriétaire du site arts.cd,
premier portail numérique des arts en RDC. Heureusement, la plume de David lui a séduit et il lui
a intégré sans embuches dans l’équipe. Une adaptation rapide et une productivité qui vont
permettre à David de se forger une place considérable dans la rédaction. Les articles de David sur
ce portail relatent tous les grands évènements de la ville touristique, analysent les performances
artistiques, décryptent les chansons et spectacles et font de portraits des artistes de sa ville et
même ceux des autres v du Congo, son carnet d’adresse étant déjà riche. Il couvrira par la suite,
pour le compte des arts.cd, le Festival Amani 2019, Le Goma Danse Festival et tous les autres
grands évènements artistiques, tous domaines confondus, que la ville de Goma a accueilli.
Il endosse la même année la direction de communication du Hadisi Urban Festival, qui était en
pleine création. Celui-ci est un rendez-vous annuel des arts en général et plus particulièrement de
la danse contemporaine dans les espaces publics à Goma et en Afrique, le but étant de rassembler
les artistes de rue du continent noir. Son travail consistait à établir le plan de communication et

stratégique, gérer les réseaux sociaux et jouer le pont entre la presse et le festival. En parallèle, il
n’a pas laissé d’être correspondant pour arts.cd à Goma et en même temps, il a été promu
coordonnateur adjoint, rédacteur en chef et webmaster de globaletudiant.com. Ces expériences
vont lui permettre d’accroitre sa notoriété dans la sphère médiatique locale, surtout dans le monde
culturel.

Ses performances vont l’amener à être enrôlé par Rizzulenation.com, qui est un média sud-
africain pour la promotion des arts africains et une agence de Marketing en consultance et
création artistique. Durant 6 mois, soit de Novembre 2020 à Mai 2021, il exercera le rôle de
bloggeur, webmaster et photographe en RDC de ce média. Une première expérience hors du
Congo qui va l’aider à entamer sa carrière de journaliste indépendant tout en poursuivant ses
études universitaires.
Il développe par la suite sa passion pour la photographie en capturant, avec son téléphone, des
clichés qu’il poste sur ses réseaux sociaux. Durant les 6 derniers mois de 2021, il se consacre à
alimenter son blog, tazamamag.wordpress.art, qui est un projet de magazine qu’il a mis sur pied
avec deux de ses amis. David se forge dans le storytelling car il a plus de liberté de s’exprimer
sur son journal personnel. Et pour se distinguer de plusieurs de ses confrères, au-delà du style
d’écrire sur le storytelling qu’il a perfectionné grâce à des formations en ligne, dont celle avec
l’organisation Africa No Filter et The Thomson Foundation sur comment écrire les belles
histoires de l’Afrique au-delà des préjugés, il se base dans les articles d’interview, style que lui-
même a tiré inspiration sur les médias Jeune Afrique et Pan African Music, deux de ses médias
panafricains preférés.


Ses aventures d’articles en interview exclusive vont l’amener à être face à face à des artistes de
renommées locales, nationales et internationales dont entre autres Cruz Taylor, Heritier
Watanabe, P-Son Zuba Boy, Céline Banza, Alain Mabanckou, Micheline Mwendike, Olivier
Luminku Bembika, Gioia Kayaga, Ben Kamuntu, Yuston Nessy…dont les articles qui en sorte
lui donne le surnom de « Mr. L’exclusivité ».
En 2022, il s’élargit et entame sa conquête de l’Afrique et du monde entier. Pour se faire, il
accepte d’être assistant d’un journaliste correspondant des chaines internationales à Goma. Avec
lui, David Kasi va apprendre à écrire des papiers reportages sur le domaine culturel et tant
d’autres et à faire des photos pour les agences de presse. Sa complicité avec ce journaliste va le
diriger à écrire des papiers pour VOA Africa, DW ou encore CTGNT Français. Dans la même
année, il décide de laisser son poste de directeur de communication de Hadisi Urban Festival
après 3 ans pour tenter des nouvelles expériences. Ce qui va le conduire à couvrir la cinquième
édition de Goma Danse Festival pour le compte du Magazine francophone basé en Afrique du
Sud, Passion Africaine. Il a été aussi parmi les membres de l’équipe de communication du
concert de la star tanzanienne Harmonize à Goma et l’un des rares journalistes gomatraciens qui
ont couvert la première édition du Festival du Rap et du Slam de Bukavu, qui a accueilli les stars
comme Youssoupha ou Stamina.

Actuellement David Kasi est consultant en communication, photographe et journaliste
indépendant tout en collaborant pour arts.cd, musicinafrica.net, le-renouveau.net, Pasha New
Agency et rédacteur en chef du magazine de mode Tropik Agence Com. Il a été aussi nommé
directeur de communication du Festival Musika Na Kipaji ; qui est un programme artistique qui
met les talents féminins de la région du Kivu sur les projecteurs. David Kasi a intégré récemment
l’équipe de communication du Festival Amani dans la commission de la communication digitale.